Souvenirs De Jeunesse 6 : Vacances À Djerba
Suite de mes souvenirs de jeunesse avec Martine, mon épouse : petit récit sans prétention décrivant les émois dun jeune marié. A cette époque, je démarrais au quart de tour, un rien me suffisait, et Martine ce nétais pas rien !
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Jeunes mariés, sans avoir encore envisagé dassurer notre descendance, nous avons passé une semaine de vacances au soleil, sur lile de Djerba en Tunisie. Vacances calmes, bel hôtel en bord de mer. Nous passions nos journées entre la plage, la piscine, un peu de sport, le restaurant, faire les boutiques, et se faire des câlins.
Comme presque toutes les touristes, Martine était seins nus sur la plage ou à la piscine. Et à peine couverte pour aller au restaurant. Je remarquais, bien sûr, le regard des autres hommes, je men souciais peu, étant occupé à mater leur femme. Il ny a pas de petits plaisirs.
Tous les jours, les boutiques de fringues attiraient Martine, petites robes de plage, tuniques, bijoux fantaisie
sans acheter, elle aimait aller faire des essayages. Je laccompagnais, le spectacle de jeunes femmes dans une boutique ma toujours enchanté. En robe de plage avec juste une petite culotte ou son maillot de bain, pas très grand non plus, Martine avait revêtu luniforme local. Très prévenants, les vendeurs pouvaient la regarder essayer différents modèles, laider à choisir ou à ajuster un vêtement
je prenais gout à les voir faire,
coup dil dans la cabine, rideaux à moitié ouvert, mains baladeuses, toute une technique. Cela devait plaire à Martine, puisquelle y retournait sans se faire prier. Ses petites exhibes me ravissaient
Une fois, elle a voulu acheter un beau collier, le vendeur lui passe autour du cou, le collier est assez long et vient se nicher entre ses seins. Pour bien voir leffet produit dans le miroir posé sur le comptoir, Martine ouvre deux boutons pour le plus grand bonheur du vendeur qui lui fait face. Elle se tourne alors vers moi, tenant largement ouvert les pans de son chemisier :
- Comment tu trouves ?
Je trouvais ça très bien
je nai pas été le seul dans la boutique.
A la plage, jaimais bien regarder nos voisines, et Martine se faisait mater par nos voisins, touristes comme nous, donnant-donnant. Mais aussi des tunisiens, le personnel de lHôtel, ou des locaux qui se cachaient dans les rochers pour regarder les belles étrangères. Ils navaient pas le droit dentrer sur la plage, ils ne pouvaient regarder que de loin, mais ça leur suffisait, jimaginais quils devaient se branler. Le soir avant de rentrer dans notre bungalow, Martine se changeait sur la plage, enfin nayant pas de soutien-gorge, elle enlevait le bas du maillot pour enfiler un petit string qui cachait encore moins, offrant une dernière vision aux voyeurs locaux. Jai vite remarqué son petit manège, je la laissais faire, très excité par la situation.
A table, toujours la même table, nous étions toujours servis par le même serveur, un tunisien charmant, petite moustache, la trentaine (nous étions plus jeune). En nous servant, il noubliait pas de regarder dans le décolleté de Martine, ni ses cuisses à peine cachées par la nappe, parfois sa culotte vu la longueur des robes de plage. Bien sûr, il devait mater toutes les femmes en les servant, mais quand cétait à notre tour, je guettais leurs réactions, au serveur et à ma femme.
Faisant la réflexion à Martine que notre serveur aimerait surement en voir un peu plus, nous avons commencé à fantasmer, et à se faire un petit cinéma, belle entrée en matière de retour dans notre chambre
De fil en aiguille, très excités à cette idée, nous nous sommes mis daccord sur un petit scénario.
Le soir au diner, Martine était plus fébrile que les autres soirs. Notre serveur, intéressé comme dhabitude par la tenue de Martine, nous a gratifié dun large sourire lorsque je lui ai demandé sil pouvait nous porter des jus de fruits dans notre chambre. Pas de problème, il travaillait jusquà minuit, il nous les porterait dès la fin de son service à table, vers 22 heures.
A lheure dite, on frappe à la porte de notre chambre, les jus de fruit arrivent.
Face à lui Martine savance vers le lit, pour voiler sa nudité elle pose sa serviette pour prendre son t-shirt, dévoilant sa chatte et se tourne légèrement pour le passer. Les bras en lair lui font remonter les seins, superbe spectacle apprécié par les deux mâles présents. Le t-shirt au raz des fesses, il ne la quitte pas des yeux, la mange du regard. Je peux comprendre son émoi. Ma respiration saccélère, voir ma femme ainsi offerte aux regards de ce beau tunisien
Ah, limagination !
« Excusez-moi, je ne vous avais pas entendu arriver », bien sûr il lexcuse. Par politesse, nous discutons quelques minutes, je passe mon bras autour de la taille de Martine, faisant ainsi remonter son vêtement, découvrant son pubis recouvert dune jolie toison brune. A lépoque elle nétait pas rasée, ses lèvres étaient peu visibles, on pouvait juste les deviner.
Le serveur se dirige vers la porte, son service et le spectacle sont terminés. Il doit avoir encore de belles images en tête, en tremblant il laisse tomber le bon que jai signé pour les jus de fruit, Martine est plus rapide que lui, spontanément elle se baisse pour le ramasser, sans plier les jambes elle est très souple, ces heures de sport y sont pour quelque chose, exposant par la même ses fesses au regard du serveur qui commençait aussi à se baisser. Ses yeux à quelques centimètres delle, avec vue directe sur sa chatte, Quelques secondes qui mont semblé une éternité, Martine nétant pas très pressée. Lui se redresse confus, Martine se relève lentement, son t-shirt ne retombant pas de suite sur les fesses, elle lui tend le papier en le fixant dans les yeux.
Comment exprimer ce que jai ressenti en voyant cette scène, un peu à létroit dans mon pantalon, mon esprit vagabonde
je rêve quil tende la main pour la toucher, la caresser, je rêve quelle ferme les yeux en le laissant faire, que leurs lèvres se rejoignent, je rêve de massoir sur le fauteuil à côté du lit pour les voir et les entendre jouir ensemble
mais la porte se referme sur notre serveur emportant un souvenir qui devrait illuminer sa nuit.
Nous nous retrouvons face à face, Martine un peu gênée, moi encore plus, mais excités tous les deux et étonnés davoir osé
Je prends Martine dans les bras, nous nous embrassons, mille baisers entrecoupés du rire qui commence à nous secouer. Nous reprenons nos esprits, allongés sur le lit, nus lun contre lautre
La dernière phase nétait pas prévue, Martine la fait sans réfléchir, machinalement. Je ne vais certainement pas men plaindre, trop heureux de son petit effet. Elle a rougi lorsque je lui en ai parlé, son trouble ma redonné vie
elle a alors pris conscience de ce quil a pu voir, mais une fois penchée, cétait trop tard, impossible de faire machine arrière.
Contents de cette petite expérience
La nuit a été agitée. Nous en avons oublié les jus de fruit.
Le lendemain en nous servant à table, notre beau serveur regardait Martine un petit sourire aux lèvres. Ses seins toujours bien exposés, mais elle avait une culotte.
Nous navons plus commandé de jus de fruits le soir, puisque nous navions pas le temps de le boire
Nous sommes rentrés en France deux jours après, très heureux de notre séjour, en espérant avoir laissé un souvenir inoubliable de notre passage.
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